Pas de Pont pour les Hautes-Alpes le vendredi 10 mai mais entre 30 et 80 % d’absentéisme des élèves.

Certains pourraient parler d’une journée perdue, elle aura néanmoins servi à démontrer qu’une classe avec moins d’élèves c’est de meilleures conditions de travail pour tous ! Cela aura aussi révélé que l’administration en voulant faire du zèle n’aura somme toute fait que de l’occupationnel puisqu’il y a eu rupture dans la continuité du service public : dans le second degré, certains élèves internes ne pouvaient pas être accueillis faute d’internat ouvert le jeudi soir…

De plus, cette décision ne respecte pas les temps familiaux dans un département où l’on compte beaucoup de travailleurs saisonniers qui n’ont souvent comme repos que quelques jours en mai. Le travail sur les rythmes scolaires a encore beaucoup de problèmes à régler !