Les diverses évaluations dans les collèges et lycées (langues, histoires des arts…) de fin d’année relèvent d’injonctions paradoxales : des évaluations déréglementées sans l’apport ni le soutien de la hiérarchie (chefs d’établissement, IPR) mises en œuvre grâce à la bonne volonté des enseignants, parfois en dehors du temps de travail, dès le mois de mai pour répondre aux besoins de l’administration sans soucis des acquis et du temps de travail des élèves, s’agit-il d’une « reconquête du mois de mai » ?